Les tatouages sur leur coquille sont uniques, comme les marques de Spinda. Ces pokémons sont difficiles à apprivoiser et ont pour habitude de marcher sur les pieds des plus faibles dresseurs mais une fois mis en confiance, ce sont des camarades fidèles et protecteurs qui n’hésitent pas à combattre jusqu’à leur dernier souffle.

Armés d’un couteau à beurre qu’ils tiennent fièrement entre leurs ailes musclées, ils ne lâchent rien et détestent tous les pokémons qui ne sont pas de type vol ou acier comme eux.

Les conditions difficiles d'Atlas ont forcé ce pauvre Couaneton à s'armer d'un couteau pour se protéger. Les Lackmécygne d'Atlas sont connus pour leur hargne et leur capacité au combat. Ils seraient les ennemis jurés des Palarticho.

Les Lackmécygnes d’Atlas sont de redoutables adversaires qui n’hésitent pas à se battre jusqu’à leur dernier souffle. Teigneux et fourbes, ils n’hésitent pas à attaquer leur ennemi dans le dos, toujours armé du couteau qu’il ne lâche jamais. Les meilleurs dresseurs peuvent se vanter d’avoir un compagnon très puissant mais les plus jeunes se feront très facilement marcher sur les pieds au vu de sa difficulté à obéir à plus faible que lui.

Les gants des Miaouss d’Atlas sont si gros qu’ils sont obligés de les laisser traîner au sol pour pouvoir se déplacer. Véritables petites teignes infatigables, leur combativité est sans égale et leur détermination inébranlable. La couleur de leur short et de leur gant varie d’un individu à un autre, les rendant un peu tous uniques.

Véritables culturistes et montagnes de muscle, les Miaoussklé se sont imposés dans la société comme les gardes du corps les plus fidèles du règne Pokémon, bien plus que leurs homologues de type combat. Polyvalents, gracieux et extrêmement agiles, ils sont des compagnons de choix dès qu’on a besoin de gros bras : vigiles, partenaires de catch, ils sont trouvables un peu partout en Odyssey. Oh et leur bras gauche est plus fort que leur bras droit.

Oublié de la société, Jval est un pokémon originaire d’Atlas et qui n’aura, de toute évidence, pas marqué les mémoires de par son apparence misérable. Du type le plus oubliable, capacités médiocres, Jval se considère lui-même comme un échec de la nature et préfère se cacher loin de la société.

Une légende raconte qu’il serait le descendant de tous les pokémons équins. Jaloux de l’évolution de ses compagnons, lui n’a jamais progressé et est resté le même au cours de ces dernières années. Mais il n'a pas dit son dernier mot, et caché derrière les traits de ses camarades, sa forme spéciale semble l'aider à prendre confiance en lui.